Je ne remercierai jamais assez Frédéric Pajak pour le travail effectué aux cahiers dessinés et la manière qu'il a de nous tenir en haleine d'un numéro à l'autre faisant remonter ainsi à la surface un peu lisse de l'édition de dessins (hors la Bande dessinée) des dessinateurs comme Chaval.
Sans lui, je n'aurais sans doute pas revu Chaval.
Car Chaval, on l'a souvent vu déjà. On ne se souvient plus très bien où mais on sait qu'on a déjà aperçu ce dessin pointu et fouetté quelque part.
Alors voilà : "les hommes sont des cons"
C'est vrai puisque c'est le titre d'un livre.
Dans ce nouvel album, l'avant-propos de Monsieur Pajak n'est pas bien long, non. Mais ne soyez pas déçu, c'est normal finalement. Il n'y a pas grand chose dans la vie du dessinateur qui mérite finalement beaucoup plus.
Un type dessine ses semblables avec dureté. Il ne peut pas faire autrement.
Et, comme on fait partie des semblables on se reconnaît, c'est dur et c'est drôle.
Et son dessin à Chaval est beau car il est limpide à son idée. Comme est limpide la ligne éditoriale de Pajak. Et ça, ça fait du bien.
et pour finir, je ne pouvais tout de même pas passer à coté de :
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