Sous le son du groupe musical Beirut et de l'incroyablement nostalgique Elephant gun, je pose, un peu comme en plein hiver de l'aquarelle sur la dernière lithographie sortie de la presse Marinoni.
Doucement et lentement.
Toujours savoir que la réserve du pinceau ne doit ni être trop grosse ni trop faible et s'étonner toujours aussi que la main réussisse à poser les poils fins sur le motif.
Oui.
Tiens c'est le morceau Nantes maintenant.
Accordéon et trompette.
Beirut, je vous écoute.
Au fait hier j'ai assisté à la métamorphose d'une libellule. Elle a quitté sa peau d'animal vorace et aquatique pour devenir une belle fille de l'air.
Des fois j'envie les libellules.
2 commentaires:
hmmm Beirut...
Ne lis tu jamais tes mails sur ta boite orange???
je n'ais pas d'autre adresse où te joindre.
et personnelement, c'est Postcard From Italy et St Appolonia mes préférées.
à bientes
h.
Chère H,
que je devine Hélène, oui je lis mes mails sur orange !
ne t'inquiétes pas.
Bises.
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