

Tout doucement le travail avance. J’écoute la radio et je sens le froid monter très tranquillement le long de mes jambes. Alors je remonte prendre un thé. Mais je m’habitue aussi à cela, pouvoir arrêter et reprendre sans route à faire. La pierre est là, en bas et elle m’attend, il suffit d’aller y voir, y dessiner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire