Voilà que sous la pression du jour qui tombe, j'arrive tout de même à terminer la colorisation de la lithographie.
Il faut croire que tout arrive.
Chaque fois il m'arrive de penser qu'il me manque des tons et des valeurs. Je suis certain que quelque part, au fond de l'Amazonie, au milieu d'un désert, une sorte d' Indiana Jones reviendra un jour avec dans sa poche, froissée comme un vulgaire torchon, une feuille de papier recouverte d'une couleur jusque là inconnue qui fera l'émerveillement du monde.
Pour le moment, je fais avec ce qu'il y a et l'aquarelle reste un lieu d'invention possible pour la couleur car la transparence est la qualité des mélanges, la sensibilité de l'œil.
Enfin, on essaie...
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